• Que de belles choses à fêter !! 5 ans que j'ai quitté le monde du petit blog pour le grand site internet ! Je remercie sincèrement Alyson G. qui m'a fait découvrir cette plateforme et surtout pour incroyables thèmes/montages pour site que je suis incapable de faire. Du super boulot !

    5 ans que je partage nos aventures ici et vous êtes toujours plus nombreux à venir, merci beaucoup ! Petit à petit je remplie les pages et même après toutes ces années j'ai l'impression d'avoir tant à vous partager encore sur nos expériences, nos conseils, nos aventures...Je ne sais pas si ce que j'écris, je montre ici sert pour quelqu'un mais en tout cas ça me permet, comme un carnet, de garder une trace, de voir nos évolutions et surtout garder contact avec tous ces passionnés du monde canin :D

    J'espère continuer ce site encore bien des années et je vous promets de faire de mon mieux pour continuer à remplir toutes les catégories :D Encore merci de passer nous voir :*

     

    Le meilleur pour la fin : Joyeux anniversaire ENEE <3

    J'ai attendu son arrivée depuis des lustres...Je voyais mes parents s'amuser avec leurs chiens et je rêvais de pouvoir pratiquer avec le mien. Enee est, encore après toutes ces années, le chien parfait. Il a une force, une énergie incroyable, une fidélité, un amour, une passion, une intelligence, une adaptabilité, une compréhension...Je n'avais jamais vu un chien qui adore TOUTES les disciplines canines... Tout le monde veut un chien comme lui :)

    Grâce à lui, je suis réellement moi et j'ai pu m'épanouir que lors de son arrivée <3 Il m'a apprit plus sur le monde du chien que n'importe qui d'autre. Je souhaite qu'il reste à mes côtés pour toujours, nous avons tellement de choses encore à réaliser <3

     

     

     

     


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  • Cela va faire un peu plus de 7 ans que j'échange sur le milieu du chien avec des passionnés du monde entier, grâce à internet. Tout d'abord via les blogs, les forums et puis les réseaux sociaux. Depuis la fin des forums sur les sports canins, cette passion du travail du chien se perd, du moins c'est ce que je perçois depuis que j'ai enfin acceptée de venir sur les réseaux sociaux.

     

     

    Cela va faire 3/4 ans que la passion du sport canin se perd malheureusement...Désormais il faut "laisser vivre le chien tranquille", ne pas l’embêter à travailler ou à lui apprendre des tours jusqu'au point où le mot "éducation" est devenu la bête noire !

    Sauf que depuis quelques années, ces messages fleurissent "Mon chien a des soucis, je suis à bout mais je refuse toute méthode avec friandises ou jouet" ; "Ah non je peux pas amener mon chien, il est pas sociable" etc etc Je ne pointe personne du doigts, vous inquiétez pas, vous êtes tellement nombreux ;)

     

     

    Mais qu'est ce que réellement l'éducation et comment utiliser de manière efficace les récompenses ?

     

    L'éducation est une notion ni positive ni négative, c'est un enseignement nécessaire pour le bien être de votre relation ainsi que pour votre quotidien, une période d'adaptation qui se met en place dès l'arrivée du chien à la maison et qui perdure tout au long de votre vie ensemble. Ce n'est pas seulement établir une routine au quotidien, c'est également guider le chiot dans ces interactions afin qu'il se sente bien dans ses pattes et dans sa tête.

    L’éducation correspond à : faire connaissance avec le chiot (à son arrivée même s'il est déjà adulte), établir un lien une confiance, l'apprentissage de la propreté, de ne pas mordiller les mains, de ne pas avoir de peur (des humains, des autres animaux, des objets), le rappel, la patience, la gourmandise (apprendre à ne pas voler) et tout pleins de petites choses qui permettront de maintenir un équilibre dans votre quotidien. 

    Je n'aime absolument pas le terme de "méthode d'éducation" : on emploi pas une méthode d'éducation mais des méthodes d'apprentissage pour chaque étape de l'éducation !

    Si vous n'avez pas envie, pas le temps ou pas les connaissances nécessaires pour éduquer un chiot/chien, c'est l'expérience qui l'éduquera avec tous ces aléas... l'animal manquera de guide afin de le conseiller, de lui montrer l'exemple et il aura donc des expériences positives ou négatives qui mettront en place des peurs, des comportements dits "gênants".

     

     

    Quelles sont les récompenses possibles ?

    Concernant l'utilisation des récompenses dans un apprentissage, il s'agit d'une question de dosage. Tout comme les méthodes d'apprentissage, il est nécessaire d'adapter la récompense :

    - au chien

    - mais également selon l'exercice !!! de quel exercice il s'agit et quel est le niveau de progression du chien !!!

     

    Il existe trois types de récompenses :

    - alimentaire (de petits morceaux d'aliment-attention à bien choisir-, des friandises pré-faites pour chien ou a réaliser à la maison)

    - sous forme de jouet

    - vocal / gestuel (caresse, lui faire la fête)

     

    Chaque récompense à une efficacité différente selon l'exercice ainsi que selon les préférences du chien. Travailler un chien de manière correctement, correspond à utiliser ces trois/deux formes de récompenses. On ne peut utiliser uniquement la friandise ou seulement la voix/gestes (les pro-positifs et les pro-trad vous êtes autant cons et complètement à côté de la plaque les uns que les autres).

    Au début de votre vie commune, il est nécessaire d'établir un lien et l'utilisation, de façon dosée de récompenses alimentaire/jouet aident beaucoup à attirer l'attention du chien. Il convient ensuite de maintenir l'attention du chien sur soi sans la récompense visible.

    Ne me dites pas "je ne veux pas acheter mon chien avec de la bouffe" Quelle horrible excuse ! Il s'agit d'un échange et si nous prenons l'exemple de l'enfant, ne devons nous pas soudoyer les enfants pour obtenir leur écoute, leur attention, leur motivation : les gommettes qui sont gagnées à l'école lorsqu'ils ont des bons points, les bonbons, les promesses de balades, de sorties, les achats etc C'est seulement par la suite que nous pouvons diminuer le chantage, une fois que l'animal à comprit les bienfaits du travail, et quel incroyable partenaire vous pouvez être.

    Etant une méthode d'apprentissage, la récompense alimentaire/jouet doit être diminué au gré de la progression. Une fois l'ordre acquis, une grosse fête avec ou sans jouet doit suffire si vous demandez un ordre de manière aléatoire dans la journée.

    Exemple : Le travail du cercle, concernant l'initiation à l'agility. Au début, friandise ou jouet sous le nez du chien, on essaye de le garder au pied pour faire un tour complet. Ici, on cache la récompense jouet et Enee peut très bien le faire avec seulement la récompense vocale/gestuelle

     

     

    Lorsque l'on travaille un chien, quelque soit la discipline,

    - la récompense alimentaire permet de maintenir le chien dans un état plutôt calme ce qui favorise le travail de précision : exemple les tours complexes d'Obé Rythmée (croiser les pattes etc) ou en agility pour le slalom, les zones.

    - la récompense sous forme de jouet favorise la motivation, la vitesse du chien, ce qui est parfait pour lui demander de sauter en agility, en frisbee

    - la récompense vocale/gestuelle est pour moi celle que l'on utilise une fois l'ordre bien acquis. On montre combien on est fier de son chien, combien on est heureux de l'effort qu'il vient de nous fournir, il faut lui faire une fête digne de celle qu'il vous fait quand vous rentrez le soir.

     

    Exemple : Ici je travaille le stop dans l'excitation pour avoir un ordre qui fonctionne dans n'importe quelle situation. Je récompense d'abord en gestuel le chien à la place que je lui demande puis je lance le jouet.

     

    Évidemment il faut doser l'utilisation des récompenses pour ne pas :

    - rendre dépendant le chien

    - écœurer le chien

    - mais également savoir doser selon la "puissance et l'efficacité" de chaque récompense.

    En effet, pour un chien gourmand, la friandise aura plus de puissance, d'efficacité que le jouet, et inversement pour un chien jouet. Tout en sachant que le chien doit apprendre à apprécier la récompense vocale/gestuelle.

    Lorsque vous donnez une friandise ou un jouet, n'utilisez que peu la voix/gestes pour vraiment les distinguer. Sinon le jour où vous récompenserez avec la voix, le chien se demandera où est passé le reste. De même, avec la voix, les gestes, forcément c'est moins puissant alors donnez tout ce que vous avez. Par votre voix, vos caresses essayez de transmettre tout votre amour pour votre chien et vous verrez comment il appréciera ces récompenses ;) 

     

    Pour finir, s'il y a bien des méthodes d'apprentissage que je préconise, c'est à travers les sports canins ! Vous ne pouvez pas imaginez les biens faits des pratiques sportives : le chien apprend tout en s'amusant avec l'être qu'il aime le plus au monde, vous. Chaque sport permet de travailler des étapes de l'éducation sans même que le chien ne s'en rende compte : l'attention envers son maître en agility, le rappel et le rapport au frisbee, etc etc

    Je vous souhaite une relation saine et passionnée avec votre compagnon et pleins de belles pratiques !

     

     


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  • Les chiens, les chevaux et même les moutons ont eu la chance de faire un tournage pour la chaîne de D8 sur l'émission des animaux de la 8 :D Notre passage serait pour septembre, je vous tiendrais au courant concernant la date ;) Merci à toute l'équipe !!!

    Vous pourrez y voir Elodie et Sandrine faire une balade à cheval accompagnées de Caramel et Agnelle et elles testeront le canicross avec Enee et Junior :D Une super expérience pour toute la bande !

    En attendant : (une mini vidéo va arriver)

    L'équipe d'Enee de Troie sur les animaux de la 8

    L'équipe d'Enee de Troie sur les animaux de la 8


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    Hier, le 1er mai 2016, Énée a participé à son premier canicross (l'année dernière c'était Junior). 

    1er canicross d'Enee

     

    Il a été parfait ! Je manquais un peu d'entrainement, surtout que la saison du pollen je ne suis jamais à 100%, mais lui s'est donné à fond et aurait pu aller plus vite. C'est maman qui avait parfois un peu de mal à suivre lol. Je sais quoi devoir travailler pour la prochaine (les montées lol mon gros point faible même si nous avons réussi à doubler plusieurs personnes en montée). Enee est resté très calme mais d'une détermination sans faille ! 

    L'objectif a été parfaitement atteint, nous avons mis le temps que je souhaitais (50 min) et gagné 20 min par rapport à l'année dernière !!! Sur 8 Km (comme le prouve les photos, ce n'était pas du plat... lol) nous avons finis 48e sur 72 canicrosseurs :)

     

    1er canicross d'Enee

     

    Félicitation aux amies et à ma mère pour leur place : 54 ; 56 ; 63 

    Et félicitation aux amies qui ont acceptés de suivre seulement 4 de mes entraînements avant la course pour finir 6e et 7e sur 28 canimarcheurs !!!!! 

     

    1er canicross d'Enee

    1er canicross d'Enee

    1er canicross d'Enee

    1er canicross d'Enee

    1er canicross d'Enee

    1er canicross d'Enee

     


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  • Si l’on devait faire un sondage sur « le problème de santé le plus fréquent » et qui ne « nécessite pas de consultation selon les propriétaires », la boiterie serait à coup sûr la grande gagnante. Combien de chien n’a jamais boité de sa vie ? Très peu. Sportif ou non, la boiterie peut toucher n’importe quel animal, il suffit d’un faux mouvement (ou beaucoup d’autres raisons). Un chien qui boite a forcément un problème physique. Ils détestent montrer leurs faiblesses et lorsqu’ils boitent, cela signifie qu’ils n’arrivent plus à compenser, que quelque chose à lâcher. Évidemment il n’y a rien de mieux que le repos mais cela ne guérit pas. Un chien peut boiter pour tellement de raisons différentes que le repos ne pourra jamais soigner (maux de ventre ; fracture ; pincement d’un nerf ; traitement thérapeutique mal dosé ; excès alimentaire etc). Et combien de chiens souffrent en silence parce que leurs maîtres pensent qu’un peu de repos va arranger les choses.

     

     

     

    Cet article ne va pas vous lister les différentes boiteries et leurs origines, et pour cause, une même boiterie peut avoir tellement de causes différentes. Sans un avis spécialisé, sans une osculation, il est impossible de diagnostiquer (à part vraiment les grosses fractures réalisées devant vous etc) l’origine exacte d’une boiterie et surtout ne jouez pas aux vétérinaires…Cet article va seulement vous aider pour la prise de contact avec le spécialiste. Il va vous demander si c’est une boiterie chronique, à chaud ou à froid, si elle est apparue brutalement et d’autres infos qui pourront déjà donner une idée de la gravité de la situation.

     

     

                 I)  Mon chien était-il prédisposé à boiter ?

     

     

    Avant toute chose, il est important d’avoir conscience (et j’espère que c’était dans vos critères de sélection lors du choix de l’élevage et des parents de votre chien) qu’il existe des prédispositions raciales, sexuelles et héréditaires concernant les boiteries.

      

         La race

     

    Certaines races sont sujettes à des pathologies, mais il faut absolument que l’examen orthopédique soit complet et rigoureux quelque soit la race ou le croisement.

     

    Exemple : Grandes races : Dysplasie de la hanche ; non union du processus anconé ; ostéochondrite disséquante ; panostéite. 

     Petites races : Luxation de la rotule

     

     

        >  L’âge

     

    Quelque soit son âge, un chien peut faire l’objet d’une boiterie mais les origines du traumatisme peuvent différer selon dans quel stade de vie est le sujet. La croissance s’achève vers 8 mois pour les petites races et jusqu’à 18 mois pour les plus grandes. Elle est maximale entre le 4e et 7e mois. Il convient de savoir si le chien est en phase de croissance ou non. Les cartilages de croissance sont une zone de faiblesse où l’on observe fréquemment des fractures traumatiques.

     

    Exemple : Maladies dont les premiers signes cliniques apparaissent au cours de la croissance  

           - Dysplasie hanche ou coude

              - Maladie de Legg - Perthes – Calvé

             - Ostéochondrite

             - Radius – curvus

     

    Maladies dont les premiers signes cliniques apparaissent chez un chien âgé :

             - Rupture des ligaments croisés

              - Phénomènes néoplasiques

              - Arthrose

     

     

         > L’alimentation

     

    La qualité des aliments doit être prise en compte durant de l’examen, surtout lors de la croissance. Par exemple, une nutrition inadaptée chez un chiot de grande race peut déclencher une pathologie si une prédisposition raciale ou héréditaire est déjà présente. L’excès en vitamine et minéraux ainsi qu’un apport trop important en énergie peuvent créer autant de dégâts qu’une carence car un excès accélère la croissance et favorise l’obésité et donc les maladies osseuses.

     

    Exemple : Excès de calcium : panostéite ; ostéodystrophie hypertrophique ; non union du processus anconé ; dysplasie coxo-femorale.

              Excès de compléments alimentaires : ankylose ou fusion du coude, des cervicales et des genoux ; ostéoporose.

    -          Apports énergétiques et protéiques trop importantes : ostéochondrite disséquante et ostéodystrophies.

     

    Il est également important de noter si l’alimentation a été récemment modifiée et s’il y a perte ou augmentation de l’appétit.

     Un excès de poids est un facteur prédisposant à de nombreuses boiteries et en accentue l’expression et ses lésions.

     Exemple : Rupture du ligament croisé antérieur ; dysplasie coxo-femorale ; ostéochondrose etc.

     

     

         > L’activité du chien

     

    Évidemment les chiens de travail et de sports sont plus susceptibles de se blesser lors d’une pratique et ils ne seront pas gênés dans leur quotidien de la même manière qu’un chien de compagnie. Les chiens de sport sont plutôt sujet à des pathologies musculo-tendineuses, entorses dues à des efforts courts et intenses. On peut également observer des « fractures de fatigue » survenant quelques heures après l’entrainement sans traumatisme apparent.

     

     

         > Les antécédents

     

    Il faut être conscient des antécédents héréditaires (dysplasie coxo fémorale etc) ; antécédents pathologiques (la parvovirose peut entrainer une arthrite septique ; les traumatismes accidentels laissent toujours des séquelles sur la mobilité et résistance articulaire) ; ainsi que les antécédents chirurgicaux antérieurs (ponction, injection etc)

     

     

    Il s’agit ici de vous donner quelques clefs afin de pouvoir analyser la boiterie de votre chien dans le but de faciliter, la prise de contact avec le vétérinaire / ostéopathe ou autre praticien. Oui vous devez aller consulter ! Aucun article ne pourra remplacer un RDV chez le vétérinaire.

     

     

    II)   Diagnostiquer une boiterie

     

     

    Si vous observez réellement quotidiennement vos chiens, vous pourrez sans aucun doute faire un état général de votre compagnon.

     

     

      > La date d’apparition de la boiterie

    Elle nous informe sur le caractère chronique du traumatisme. Une boiterie qui date de moins de un mois est décrite comme aiguë mais si elle perdure au-delà d’un mois, elle sera considérée comme chronique.

     

     

     >  L’apparition d’une boiterie peut être brutale ou progressive.

    Une boiterie qui apparait brutalement peut avoir deux origines : elle peut survenir d’un traumatisme direct (une chute) ou elle peut être un traumatisme révélateur d’une autre pathologie (un animal sain mais porteur d’une pathologie n’a pas forcément des symptômes apparents). Alors qu’une boiterie qui apparait de manière progressive peut avoir plusieurs origines aussi bien dégénérative, néoplasique, inflammatoire et peut évoluer par crises (dysplasie) ou de manière continue avec une douleur croissante (maladie de Legg-Perthes-Calvé).

     

     

      > La fréquence de la boiterie.

    Si une boiterie disparait après un exercice modéré, un échauffement et réapparait au repos ou quand le chien se lève, il s’agit d’une boiterie à froid. Au contraire, si une boiterie apparait après un effort physique et disparait lors du repos, on parle de boiterie à chaud. Dans le cas d’une boiterie qui perdure aussi bien lors de l’activité physique que durant le repos, il peut s’agir d’une fracture, luxation, entorse ou lésions nerveuses.

      

    Attention, un sol souple accentue une boiterie due à une lésion tendineuse contrairement au sol dur qui aggrave une boiterie d’origine osseuse. De même, une boiterie peut être masqué ou provoqué par un traitement thérapeutique (anti douleur ou mauvais dosage etc)

     

     

    Après un état des lieux général, il convient de réaliser un diagnostic clinique.

     

     

      > La répartition des appuis

    Chez un chien sain, la répartition des appuis est de 40% du poids sur les antérieurs et 60% du poids sur les postérieurs. Si un membre subit un traumatisme, le centre de gravité sera modifié : le chien se tiendra plus sur ses épaules ou inversement.

     

     

      > Les aplombs

    Chez un chien sain, les aplombs sont symétriques. Une modification de cette symétrie (membre éloigné, rapproché ou en rotation interne ou externe) peut être mécanique ou antalgique.

     

     

      > Les masses musculaires

    Lorsqu’un membre est moins musclé que l’autre membre parallèle, cela signifie qu’il est moins utilisé ou de manière anormale et l’autre doit compenser. Il s’agit en général d’une boiterie chronique. La peau et les griffes peuvent également présenter des signes d’usure anormale ou de plaie de léchage (douleur).

     

      > Les différentes allures

    Une faible boiterie ne sera visible que durant le trot. Une boiterie plus importante sera visible aussi bien au pas qu’au trot.

     

     

      > Les différents types de boiteries

    Une boiterie avec appui démontre une réduction de temps d’appui sur le membre touché. Une boiterie avec suppression d’appui correspond à un membre qui n’est pas posé au sol et reste en suspension. Il existe aussi des boiteries de soutien avec lesquelles le chien éprouve des difficultés à soulever le membre touché mais ce sont les moins fréquentes.

    Pour les antérieurs, le chien soulage son membre touché en relevant la tête au posé pour lui faire supporter le moins de poids et il abaisse la tête quand il pose le membre latéral sain. Pour les postérieurs, il bascule une proportion de son poids plus importante sur ses antérieurs et a le dos vouté. La tête descend à l’appui du membre atteint et la croupe remonte.

     

     

    Pour réaliser un examen rapproché, attention, que ce soit la palpation, la mobilisation, ces techniques nécessitent une parfaite connaissance de l’anatomie du chien pour savoir quelle partie du membre il est nécessaire de palper, reconnaitre s’il y a une anomalie mais surtout, pour éviter d’aggraver la situation avec des mouvements anormaux. Ne jouez pas à l’ostéopathe.

      

    >>> Les signes que vous devez rechercher :

             -- Toute sensation de chaleur, ce qui implique une inflammation active.

           -- Toute sensation de froid, ce qui implique une perfusion des tissus.

    -          -- Anomalie de taille, forme du membre (essayez de comparer avec le membre latéral)

              -- Des craquements lorsque le chien se couche ou se lève.

     

     

     

                   III) Mon chien boite, quelles solutions ?

     

    Évidemment, mettre le chien au repos de toute activités physiques jusqu’au RDV médical. Les deux professions qui pourront vous guider au mieux pour dépister la boiterie, ce sont les vétérinaires et les ostéopathes, le must étant de trouver un vétérinaire ostéopathe.  Par la suite, d’autres professions pourront vous aider au mieux pour soigner l’origine de la boiterie (et non seulement la boiterie en elle-même. Attention, n’oubliez pas que certaines boiteries cachent des pathologies plus importantes qui s’expriment à travers le membre). 

     

    > Acupuncture

      > Homéopathie

      > Hydrothérapie

     


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  • Sondage

     

    I)     Qu’est ce que c’est ?

     

    L’anxiété peut se définir comme un état émotionnel et caractérisé par des réactions émotionnelles analogues à celles de la peur, en réponse à un danger inconnu, à des menaces (punitions, frustration), à des situations de nouveauté ou d’incertitude ou toute autre variation du milieu, voire simplement de l’attente de stimuli.

     

    En quoi l’anxiété se différencie de la peur ?

    La frontière entre ces deux émotions est parfois mince ; la peur implique la présence d’un danger réel et la connaissance de celui-ci et est souvent liée à une mauvaise expérience. Les chiots sont réellement sensibles aux peurs d’où l’importance de la socialisation. L’anxiété, quand à elle, est certes parfois rattaché à un danger (la foule, les autres chiens) mais elle se manifeste dans l’attente de celui-ci, avant son apparition et il peut même être non définis.

     

    L’anxiété non pathologique

     On la compare souvent au stress dans ce cas. Elle a une fonction d’alarme permettant à l’organisme d’être alerté et donc de s’adapter à un état de stress déclenché face à une modification soudaine et inhabituelle de l’environnement. Un processus de régularisation et de contrôle se met en place : l’homéostasie. Il permet de conserver une stabilité et un équilibre de l’environnement interne, de répondre à des menaces potentielles par une réaction de peur transitoires proportionnelle au danger supposé, de produire des réponses comportementales adaptées (évitement, fuite), et de restaurer un état émotionnel normal une fois le danger écarté.

     

    L’anxiété pathologique

    C’est un état chronique dans lequel le chien n’arrive pas à réguler et contrôler son environnement interne. Plus le chien sera confronté à cette situation anxiogène, plus son état de vigilance s’aggravera. Cet état chronique peut apparaître à tout moment, indépendamment de tout stimulus particulier, facilitant et amplifiant l’expression d’émotions de peur et empêchant le chien d’adapter son comportement proportionnellement au danger. L’anxiété pathologique semble être une maladie de l’adaptation engendrée par l’incapacité de l’organisme à faire face à certaines situations perçues comme dangereuses ou douloureuses. Cette impossibilité d’adaptation est considérée comme un excès d’anxiété qui peut perdurer après le retrait du danger et apparaître sans raison apparente.

     

     

    Les facteurs

     

    Les facteurs prédisposants limitent l’adaptation du chien lors de situations futures menaçantes ou perçues comme telle.

    L’expérience vécue ainsi que les apprentissages (au sein de l’élevage, lors de la socialisation, pendant une promenade, dans une maison) peuvent être à l’origine d’un état anxieux s’ils ne se sont pas déroulés de manière harmonieuse.

    L’hyper attachement (un article lui sera consacré) est une pathologie dont l’anxiété est l’un des symptômes. L’attachement est le lien qui lie le chiot à sa mère puis à son maître. La « figure d’attachement » est assimilée à une protection en cas de danger qui permet aux peurs du chiot de s’estomper. L’attachement est naturel, l’hyper attachement une pathologie qui concerne un lien de dépendance excessive : le chiot/chien ne peut rester sans sa « figure d’attachement » et la peur de perdre ce dernier empêche le chien d’interagir avec l’environnement extérieur.

    Exemple personnel de cas d’hyper attachement : lors d’un stage de conduite de chien de troupeau, Enee qui n’avait qu’un an avait encore de gros soucis d’hyper attachement, « l’empêchant » d’interagir seul avec le troupeau. Un test a été réalisé pour savoir s’il s’agissait réellement d’hyper attachement : une personne a pris Enee en laisse et l’a conduit en bout de champs, pendant que je me cachais de l’autre côté, laissant le troupeau entre nous deux. Alors qu’il a toujours eu de l’instinct concernant tout type de troupeau, il a préféré partir à ma recherche une fois lâché plutôt que de « s’occuper » des moutons. Aujourd’hui, après tout ce travail je pense qu’il irait aux moutons, mais qu’il reviendrait rapidement à ma recherche (pathologie oblige).

    Des lésions du système nerveux central causé par un traumatisme ou des neurotoxiques ou une malformation.

    Génétique : un gène anormal produit une protéine anormale qui, si elle est impliquée dans une étape de la neurotransmission, va être à l’origine de la perturbation de celle-ci. De plus, chaque individu nait avec un capital d’adaptation propre et il est possible de produire une lignée de chien anxieux (déjà réalisé sur une espère de lapins et de souris)

     

    Les facteurs déclencheurs correspondent à des stress auxquels le chien n’arrive pas à faire face de manière adaptée.

    Il peut s’agir de situations ou d’objets dont le chien n’est pas habitué : agression durant une balade, hospitalisation, transport, bruits, effet de surprise. L’introduction d’un objet inconnu et qui parait suspect dans un environnement connu. Un chien qui n’est pas habitué à voir une multitude de situation différente aura du mal à accepter l’innovation d’où l’importance de la socialisation : familiariser le chiot/chien au maximum de bruits/objets/personnes/situations etc

    Exemple personnel : Bon en l’occurrence ce n’était pas de l’anxiété mais de la peur mais ça montre combien un minuscule changement qui nous parait anodin peut faire peur, angoisser votre animal. Enee devait avoir 2/3 ans et il a eu une peur terrible lors d’une balade, lorsque nous avons croisé un chien avec une collerette. Il n’avait jamais vu de collerette et cela lui a vraiment fait peur. Par chance le chien était très gentil mais Enee était terrorisé et le fuyait. Puis il s’est finalement approché pour comprendre que non, ce chien n’était pas un extraterrestre ^^

    Il est essentiel d’agir dès la première fois, de prendre le temps de montrer au chien qu’il n’y a pas de danger, pour éviter que cela devienne une situation anxiogène voire une phobie pour lui (à peine quelques fois suffisent).

    Il peut également s’agir d’une situation de conflit (l’heure du bain, la visite chez le vétérinaire, le trajet en voiture/caisse de transport), d’une situation de frustration (séparation, isolement, de mauvais traitements (nourriture-propreté-émotionnel) ).

    Il ne faut en aucun cas négliger l’anxiété communiquée par l’homme ! Combien de fois il est possible de croiser des personnes qui stressent dès qu’un chien étranger s’approche du leur qui semble calme ! Si le chien ressent de l’anxiété venant de son maître, il va penser qu’un danger est en approche et qu’il faut réagir en conséquence. Et une incohérence dans la communication peut également engendrer de l’anxiété (le maître qui ne perçoit pas les signaux d’apaisement et continu sa manœuvre).

     

    Les facteurs modulants aident à diminuer ou au contraire augmenter l’anxiété. Lors de la situation anxiogène, une fois que le chien démarre la premiere séquence de comportement, les interactions du maître, ses réactions, ainsi que celle de la personne « dangereuse selon le chien » (s’il a peur des enfants/personnes) peuvent influencer l’anxiété du chien. Un maître qui connait et comprends son chien s’aura lui détourner l’attention, lui faire reprendre son calme. Comme le contraire est possible. De même pour la personne visée qui peut réagir bien, ou mal.

     

    Quelques exemples de situation qui peuvent devenir anxiogènes

    Les conditions de vie imposées par les maîtres ne permettent pas toujours l’achèvement du développement comportemental de leur chien.

    -          Stéréotypies de contraintes : Les restrictions de leurs possibilités physiques (mise à l’attache, séjour dans des espaces restreints) ou bien séjour dans des environnements pauvres en stimuli.

    -          Enurésie des jeunes chiens : réapparition de troubles de la propreté dans l’habitation pendant la nuit alors que l’apprentissage avait été acquis. Le facteur punitif semble être le facteur anxiogène.

    -          Anxiété de séparation : un des symptômes de l’hyper attachement.

    -          Anxiété de privation : trouble du comportement chez les chiens élevés en milieu moins stimulant que leur futur milieu de vie. Tous les stimuli auxquels le chien n’a pas été habitué seront potentiellement stressants, ce qui peut entraîner des comportements agressifs.

     L’absence d’une communication de qualité peut déstabiliser le chien jusqu’à l’apparition de l’anxiété.

    -          Anxiété dite de « deritualisation » : lorsque un chien adulte vient de changer de meute/famille soudainement, les modes de communication habituels ne seront plus les mêmes et il n’obtiendra pas les mêmes réponses dont il a l’habitude suite à ses messages. Une ambigüité peut engendrer un état anxieux (les chiens qui grondent/aboient en jouant peuvent surprendre les plus sensibles etc).

    -          Anxiété du « chien de remplacement » : il arrive fréquemment qu’un maître qui a perdu son chien, le remplace rapidement ou non, par un chiot de même race. Il essayera de rechercher les caractéristiques de son défunt chien dans son nouveau sans jamais y parvenir et le nouveau se retrouve dans l’impossibilité de répondre aux attentes de son maître perpétuellement insatisfait.

    -          Anxiété dûe à des douleurs.

     

     

     

    II)     Comment le déceler ?

     

    Les symptômes cardio-respiratoires

    Face à une situation de stress, l’organisme du chien émet une réponse physiologique adaptée : tachycardie, tachypnée, hyperventilation.

    Les symptômes digestifs et urinaires

    Il peut également y avoir des diarrhées, des écoulements de glandes annales, des troubles digestifs chroniques (vomissements, gastrites, troubles dyspepsiques ou dysphagiques.

    Les symptômes dermatologiques

    Comme pour nous, la peau est le miroir de la santé de l’animal. Un état anxieux peut se démontrer par la présence d’eczema, chute de poils, léchage, grattage, morsures.

    Les symptomes comportementals

    Un chien anxieux peut être agité, ou au contraire amorphe. On peut constater de l’hypervigilance, tournis simple ou autour de sa queue, crises convulsives, impulsivité, agression, destruction, immobilisation, aboiements, refus de contact, troubles du sommeil, de l’alimentation, défense, fuite, posture d’inhibition, coprophagie, marques d’agitation (reniflements, changement fréquent d’allure et de posture), actes de substitution (toilettage à l’excès, activités répétitives – ronger, tournis).

     

    III)      Les traitements possibles

     

    Je ne préfère pas évoquer de médication, il faut prendre RDV avec un vétérinaire compétent. L’auto médication est quelque chose de très complexe et à ne pas prendre à la légère. Je peux juste vous dire qu’il semblerait que la phéromonothérapie soit assez efficace. Concernant les thérapies comportementales, voici celles qui sont, en général, proposées par les comportementalistes (ne pas en mettre une en place si vous n’êtes pas de taille, consultez pas d’envenimer les choses) il s’agit d’une liste de thérapies qui se pratiquent de nos jours mais elles ne sont peut-être pas adaptée à votre chien/cas, je ne fais que les recenser ici :

    Une thérapie comportementale ne fonctionne pas en un claquement de doigts. Il faut être conscient des principes afin d’obtenir de résultats concrets : 

    -         > Les différents diagnostics (clinique ; d’état (état général du chien) ; ecosystémique (cadre familial, environnement, comportement du maître)

    -          > La volonté de changement de la part des maîtres

    -         > Adapter la thérapie aux capacités du chien et des maîtres

    -          > Un objectif en accord avec les maîtres

    Les thérapies comportementales stricto sensu

    Elles ont  pour but de faire apparaitre ou disparaitre un comportement et ce, par la mise en place d’apprentissage répondant, pour la plupart des comportementalistes, aux règles du conditionnement opérant. Ce qui signifie que l’on apprend un comportement en fonction des conséquences qui en résultent : un acte qui, dans une situation donnée, procure de la satisfaction à plus de chances de se reproduire et au contraire, un acte qui produit de l’insatisfaction aura tendance à disparaître. Il s’agit d’un maintien ou non d’une séquence de comportement par ses conséquences renforçantes.

    La théorie de l’apprentissage élaborée par Mr. Bandura inclue la prise en compte du rôle du renforcement dans l’apprentissage par observation « en tant qu’influence antécédente plutôt qu’en tant qu’influence conséquente ».

    Les thérapies les plus fréquemment utilisées :

    -          Le contre conditionnement

    Cette technique consiste à induire un conflit de motivation afin de supprimer les réactions déclenchées par un stimulus anxiogène : le chien est entraîné dans une activité positive, ludique (souvent le jeu) et lorsque le chien est totalement absorbé par cette activité, on provoque la situation anxiogène tout en poursuivant le jeu pour détourner l’attention du chien.

     

    -          La désensibilisation

    Le but est d’obtenir la diminution des réactions à un stimulus en contrôlant la situation et en la mettant en place de manière croissante. Exemple si le chien à peur de l’orage, mettre le son très bas et augmenter le volume progressivement. Le plus important est de ne pas passer à une stimulation plus forte tant que l’étape précédente est encore stimulante pour le chien.

     

    -          L’extinction

    Cette technique concerne la suppression de la récompense ou punition qui renforce ou inhibe un comportement.

     

    Dans quelles cas : Syndrome de privatisation stade 1 & 2 ; phobies simples/complexes/post traumatique ; anxiété de différents types ; syndrome HSHA ; troubles du comportement.

     

    Les thérapies dites « cognitives » et comportementales

    Elles consistent à fournir des informations organisées au chien qui n’ont qu’un rapport indirect avec les comportements jugés indésirables mais qui en diminuent l’occurrence en modifiant le contexte affectif et social.

    L’exemple de la thérapie la plus classique

    -          « la régression sociale dirigée » 

     Il s’agit de modifier le statut hiérarchique du chien au sein de la famille. Le flou hiérarchique pouvant être un facteur anxiogène.

     

    Les thérapies cognitives consistent à créer des situations dans lesquelles le chien doit résoudre un problème simple, situations qui doivent être conçues de telle manière que le chien ne puisse ni échouer ni avoir peur.

     

    -          La relance de motivation

    L’objectif est de permettre au chien de construire une situation qui lui procure une récompense et dont le double intérêt est la relance de l’activité du chien ainsi que la restauration d’une relation avec son maître : jeu de piste, les tricks etc.

     

    -          La thérapie de détachement

    Pour les cas d’anxiété de séparation, d’hyper attachement – seulement si les origines de cette pathologie sont résolues, il s’agit de reproduire les conditions naturelles du détachement maternel.

     

    Les thérapies familiales ou systémiques

     

    Ces techniques ont pour but de modifier l’ensemble du système relationnel en utilisant ses propres capacités à évoluer.

    Il ne s’agit pas de modifier le comportement du chien mais d’entraîner des modifications relationnelles qui autoriseraient le chien à rééquilibrer son environnement interne. Il est nécessaire d’identifier précisément le cadre familial.

    Le but étant de minimiser l’anxiété en améliorant la communication interspécifique.

    Le maître doit apprendre à se comporter de façon prévisible pour son compagnon et à reconnaître les signaux de communications/d’apaisement (un article plus complet sur les signaux d’apaisement –comment les reconnaitre etc- sera prochainement publié) et l’expression des émotions chez le chien pouvant indiquer un début d’anxiété. Il doit toujours agir de manière cohérente avec son compagnon et appliquer correctement les principes du renforcement et de la punition (suppression de la punition injustifiée car c’est un non sens pour l’animal et un anxiogène). Attention toutefois au renforcement positif des comportements indésirables (caresser un chien peureux etc). Reconnaitre et anticiper les déclencheurs ou les facteurs exacerbant l’anxiété ce qui doit permettre au maître de pouvoir gérer certains imprévus et d’interrompre un comportement indésirable. Et ne pas mettre son chien dans une situation où il sera incapable de s’adapter, vouée à l’échec.

     

    Il s’agit de cibler la psychologie des maîtres et forcer leur motivation à mettre en place une thérapie.

     

     

     

     

     

     


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  • Quelques nouvelles photos :) Je suis en plein changement d'appareil photo donc pour les clichés / vidéos c'est un peu en attente :*


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  • Jeïko est un gros bébé. Un bébé mais dans le corps d'un ogre. Enee et Junior aiment bien leur cousin mais....ils sont quelque peu intimidés, surtout quand le "petit" cousin s'élance sans retenu vers eux...

    Lorsque nous passons le weekend avec le "petit" cousin, voilà la seule partie du corps que j'aperçois de mes poilus...

    Junior qui se fait poursuivre...

    Les risques d'un jeu avec un seul ballon pour trois chiens dont un balou...

    Le "petit" aime bien faire des bisous à ses aînés

    Et le fameux jeu de babines :P


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  • J'ai récemment "shooter" des stages au club Les Cavalcadours chez Elodie (Jatxou) et après approbation d'Elodie je pourrais vous les transmettre :)

     


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